Je sortis de chez l'avocat et passa un coup de
Je sortis de chez l'avocat et passa un coup de fil pour que matcho fiero vienne me rejoindre. La tête encore dans mon affaire je l'accueillis avec le sourire. Je portais ma robe noire et un imperméable assez long et se fut très vite qu'il m'attrapa par la taille. Le long de la rue , il cherchait tout en parlant de mon affaire, un porche où il pourrait me donner du plaisir comme lors de notre dernière rencontre qui doit remonter à peu près à 4 ans. De nombreux garages se situent dans cette rue mais hélas pour lui ils appartiennent à la préfecture et inutile de dire le nombre incalculable de caméras de surveillance. Devant mon refus, je vis mon matcho fiero contrarié mais pas près d'abandonner la partie. J'etais à l'affut ayant peur de tomber sur des personnes de ma connaissance surtout quand il mit sa main dans mon dos glissant jusqu'à mon arrière train. Nous rejoignimes nos voitures et là sans même une autorisation il monta dans la mienne. Garée le long d'un boulevard inutile de dire la circulation, je lui fis entendre que je n'etais pas du tout à l'aise malgrè son envie pressante de me faire écarter mes cuisses. Je le convaincus de partir un peu à l'ecart. Il me suivit donc avec sa voiture jusqu'à un parking désert ou j'étais quasi certaine de ne rencontrer personne. Je descendis de voiture et m'indiqua la sienne aux vitres teintées à l'arrière. Je le vis se mettre à l'aise et quittant sa veste s'installer près de moi. Il me fit la remarque que je n'avais rien quitté et qu'il devrait passer outre tous mes vetements. Peut etre restait il un soupçon pour moi de refus inconscient ? soyons honnête j'etais excitée et il me tardait de le rejoindre dans l'abandon du plaisir. Ses mains se posèrent sur ma poitrine et j'eus un frisson quand sa langue se fit serpentine venant explorer ma bouche. A peine sur mon sexe ses doigts me donnèrent une décharge électrique et inutile de dire l'eau qui jaillit de mon corps tant le plaisir fut instantané. Je lui spécifiais que j'allais inonder le siège et sa désinvolture me convaint de m'abandonner malgrè tout. Un autre soubressaut me fit totalement chavirer et je compris des lors que ce plaisir etait réellement du à l'envie physique que j'avais pour cet homme. Ses doigts ne cessaient de me caresser et je perdis vite l'etat de retenue. Apres une explosion je me relevais assoifée de son sexe que je pris dans ma bouche. Il ne voulait guère que je m'occupe de lui et je fus surprise quand je dégraffais son pantalon. Ne bandant pas je continuais malgrè tout et le pris en bouche. Son râle se fit de plus en plus soutenu quand je sentis son membre gonfler en moi allant jusqu'à lui offrir une gorge profonde à plusieurs reprises. Il lacha prise criant que je n'avais pas le droit de lui donner autant de plaisir. J'avais ma petite fierté acquise et c'est d'un sourire complice que nous nous séparions après quelques baisers échangés.
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